La Liberté d'être Soi

Consultante en communication de l'image et de l'estime de soi

La douleur


La douleur

 

Qui sommes-nous face à la douleur ?  

Si la douleur est définie comme une expérience sensorielle et émotionnelle, désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle.

 

Quand une douleur s’éveille, quand une gêne se fait sentir…

Qu’elle tétanise, que ce soit une sensation de brûlure, un tiraillement ou encore qu’une raideur s’installe, et bien d’autres manifestations énergétiques, physiques, émotionnels…  

Comment réagissons-nous ?  

Le choix premier est de vouloir y réagir, se soulager pour éliminer le symptôme, avec la prise parfois d’un  médicament qui viendra apaiser l’inconfort, ainsi sentir que nous prenons le contrôle sur le mal…

Et, puis dans un second temps, il y a une version plus audacieuse, plus douloureuse même, comme celle de traverser la douleur, de la prendre à bras le corps…

Faire un avec elle et tendre l’oreille.

Faire un avec son corps et l’écouter subtilement.

 

Lui demander, " De quoi as-tu besoin ici maintenant ? "

" Quelle question puis-je te poser pour faire changer cela ? "   

 

Entrer en contact avec son corps, ce n'est pas de la bobologie... 

C’est choisir de créer un espace d'accueil à ce qui est... 

C'est choisir la responsabilité de prendre soin de soi, de son corps… 

Lui, qui est là pour nous depuis notre premier souffle. 

Oui, voyons à quels points il est là pour nous, et à quels points nous lui en faisons voir de toutes les couleurs.  

 

Ce temps d'accueil et de présence peut donner l'élan de se retirer du monde extérieur, ce qui pourra être bénéfique et salvateur...  

Pour vivre dans son corps, l’habiter… Et prendre le temps de l’interroger pour faire un état des lieux de son intérieur.

Les saisons de l’automne et de l’hiver sont propices pour œuvrer en ce sens.  

 

Choisir de s’éloigner des petites injonctions qui infectent un peu plus.

Car, si le mal dit, chacun a une lecture personnelle et sa propre interprétation…

Si cela peut être une guidance, attention de laisser l’autre suivre son chemin…    

 

Si la douleur rend vulnérable et que nous n’aimons pas vraiment ça, pourtant, dans sa définition la douleur est bien reliée à nos sentiments, à cette vie intérieure qui nous traverse en tout temps.

Elle peut être endormie bien longtemps par l’ignorance de sa présence, par le refoulement, par d’autres sentiments devenus presque « normaux » et aussi en utilisant la banalisation et les : « ça ira mieux demain », remettant toujours à plus tard ce qui est présent.

Ces comportements- là n’ont pas à être jugés, ils sont légitimes jusqu’au jour où il est peut-être temps, de soulever le voile de l’illusion, de mettre en lumière cette part de soi qui a besoin de soin.  

Et surtout de soi-même...  

 

La douleur peut aussi se contaminer autour de soi, et envahir l’environnement qui impuissant, ne trouve plus les mots.

La douleur est personnelle... .

Alors, si le réconfort soulage sur l’instant, que ce soit par la présence d’une personne ou bien qu’elle soit anesthésiée par toutes formes d’addictions.

Chacun et chacune peut prendre son mal en patience, son mal pour un bien, son mal pour laisser partir une version de soi à qui, il est temps de dire au revoir.

 

La douleur est une énergie et une messagère, comme l'est une émotion, ni plus ni moins... 

Comme un mouvement qui va et qui vient…

Juste un mouvement…

Oui, ça fait mal d’avoir mal…

Le mal en soi, le mal d’amour, le mal de la peur de mourir et peut-être encore plus le mal de s’autoriser à vivre pleinement …

 

Si je compare la douleur à une mélodie…

Et que je viens m’assoir à côté d’elle, que je me laisse traverser par son chant.

Si au passage, les larmes s’invitent…

Elles apaiseront le cœur et là, un sentiment de légèreté et de relâchement se feront sentir.

Que ce soit un chagrin, une perte de lien, un évènement traumatique, une peur qui paralyse.

Ou bien, que sais- je encore…

Suivre la mélodie de son cœur, qui a tant besoin d’amour, de sa propre présence pour reconnaitre ce qui demande une attention particulière.

Comme un bobo de l’enfant qui vient de se blesser, il est si doux et réconfortant de souffler à l’endroit de la douleur avec un peu d’amour et de magie en laissant faire le temps.

Respirer plus fort et plus longuement sur ce quelque chose en soi.

Tester, observer… Et voir comme le pouvoir de l’intention est puissant…

Il libère de certaines croyances, il agit en son temps et patience…

L’énergie peut alors circuler librement, elle apaise.

 

Nous avons ce pouvoir… Il est en chacun de nous pour notre plus grand " bien et mieux-être ", 

« Emotionnel et relationnel » 

Merci 

Stéphanie


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