A la femme que je suis et que nous sommes.
Être femme.
Ma belle d’âme.
C’est danser au rythme des saisons,
en jouant au clair de lune 🌝.
C’est poser les mains sur ton cœur, en écoutant sa guidance et ses messages emplis d’espoir et d’amour.
T’offrir la caresse de la soie et laisser tes sens s’éveiller à cette énergie de feu qui t’anime.
Danse, ris, aime, prie, pleure si nécessaire.
Repose-toi et relève toi…
Respire en gardant la foi.
Elle te guide et te soutient à chaque instant.
Avance pour construire ton édifice.
Fabrique des petites choses et aussi des grandes.
Réalise tes rêves d’enfant, tu en as le droit.
Autorise-toi à voir grand.
À déployer tes ailes, telle une hirondelle.
Sois présente à la vie qui coule en toi.
Accueille ce qui est comme une expérience de guérison et d’évolution.
La vie est un jeu, danse avec et pour elle…
Accepte-toi telle que tu es, tu es un être sublime aux multiples facettes.
Honore-toi charmante d’âme.
Respecte-toi pour être respectée.
Aime-toi et tu seras aimée.
Pose un non quand c’est nécessaire.
Ose le oui aux compliments et à la courtoisie.
Reconnais la beauté en toi et dans le regard des autres.
Oui, femme c’est bien dans l’union et la guérison que nous offrirons un nouveau souffle à ce monde.
Laisse taire la critique et la comparaison.
Relève la tête, mets un sourire sur ton visage.
Et galope à ton rythme, toi ma belle amazone.
Libère ta puissance créatrice.
Diffuse ton rayonnement, comme ce parfum enivrant que tu portes.
De tes habits qui volent au vent, où se devinent tes formes généreuses.
Femme, dans ta splendeur et ton charme.
Sois libre d’être.
Les pieds bien à terre, à voyager, à t’ancrer sur la terre.
Ressens son énergie, elle sera toujours là pour te soutenir.
Grâce à chaque empreinte de ton passé, tu peux savourer ce moment présent en imaginant ton avenir.
Oui, comment se serait de vivre ceci et cela ?
En retirant la boue qui t’empêchait de voir la vérité, le voile s’est levé avec la lueur d’un
nouvel horizon plein de promesses et d’allégresses.
À la femme que je suis et que nous sommes, si uniques.
Merci
Stéphanie